Portage Salarial… L’heure de vérité a sonné… !
08/10/2008(communiqué de presse) High Potential Ressources 08 octobre 2008
Quid de la publicité tapageuse faite autour de taux de frais de gestion qui se veulent plus accrocheurs les uns que les autres. In fine, la réalité économique reprend ses droits, la crise financière actuelle le rappelle cruellement au quotidien à celles et ceux qui se sont laissés attirer par ce type de leurres artificiels.
Le vieil adage populaire « On en a pour son argent » prend dans ce contexte particulier toute sa signification. Ce qui importe : Ce sont les revenus que l’on est à même de retirer en final de son activité sans prendre aucun risque et ce n’est pas chez les discounters que l’on trouvera la meilleure réponse.
Le premier point à apprécier c’est le sérieux et la solidité financière de la société à laquelle vous allez faire appel.
Même dans des structures qui font l’avance du salaire le premier mois d’activité (avant même d’avoir perçu le règlement des honoraires) il existe une trésorerie positive du fait du décalage entre les encaissements réalisés et les paiements des différents organismes fiscaux et sociaux :
TVA, URSSAF et GARP une fois par mois et Caisses de retraite, de prévoyance et mutuelles tous les trois mois.
La trésorerie dégagée par la mécanique des opérations est « virtuelle », en effet plus de 98 % de l’argent sur le compte en banque d’une société de portage, ne lui appartient pas, il est là pour régler les compléments de salaires des portés, les cotisations sociales, la TVA … et ses propres charges de fonctionnement, donc surtout pas pour sur-rémunérer son dirigeant, autoriser des dépenses somptuaires voire financer de la publicité à grande échelle.
Dans l’absolu, ouvrir une société de portage salarial aujourd’hui ne nécessite pas d’apport de capitaux, ce qui explique l’émergence de multiples structures attirées par l’appât du gain facile, elles sont fragiles, d’une volatilité extrême et présentent donc des risques majeurs pour les personnes qui s’y font « porter ». Par les temps qui courent mieux vaut être vigilant et surtout prudent.
La marge discrétionnaire d’une société de portage est très faible moins de 1% du CA et même sans intentions délibérées de puiser dans la caisse, le risque est important de déraper, ce qui impose d’avoir une gestion comptable et financière extrêmement rigoureuse, donc de mettre en place des systèmes de contrôles budgétaires complexes et spécifiques à cette activité. Le top en la matière étant de vous fournir en ligne, en totale transparence et en temps réel, toute l’information financière utile.
Le deuxième point à prendre en compte c’est le niveau de revenus nets généré par votre activité.
La rémunération des services de la société de Portage salarial s’effectue au travers d’un pourcentage forfaitaire (Frais de gestion) prélevé sur le montant des honoraires facturés.
Dans un portage salarial simple :
Honoraires HT encaissés – Frais de gestion de portage = Disponible pour « fabriquer » le salaire.
C’est ce disponible amputé des charges sociales qui constituera au final le salaire net du porté.
L’important est de considérer la rémunération qui est élaborée avec ce disponible et c’est à ce niveau que va se jouer une sérieuse différence en fonction de la capacité de l’entreprise de portage à optimiser votre rémunération.
C’est ce que l’on appelle en langage technique l’ingénierie salariale, pourquoi ingénierie, parce que l’optimisation n’est pas à la portée de la première entreprise venue. Elle implique de connaître et de faire un choix judicieux parmi les nombreux dispositifs existants, de prendre en compte plusieurs paramètres liés aux besoins et attentes de l’intéressé pour enfin mettre en place des solutions complètement fiables dans le contexte du droit du travail français qui très réglementé.
Si toute structure peut promettre (et espérons le verser réellement) un salaire net entre 480 et 500 Euros pour 1 000 Euros HT d’honoraires encaissés, c’est une autre affaire que d’assurer de manière pérenne, pour le même montant d’honoraires, des revenus oscillant autour de 600 Euros.
Pour ce faire, il faut mettre en œuvre tout ce qui est possible (Remboursement de frais, allègements de charges sociales et fiscales, mobilisation d’aides et contributions diverses…) sans déroger à la réglementation, ni rogner sur le niveau de protection professionnelle, juridique, sociale et de santé de l’intéressé tout en lui garantissant des revenus corrects quand l’heure de sa retraite sera venue.
Chez HPR, malgré notre performance, nous savons rester humbles, l’intelligence ne fait pas tout, l’expérience y est également pour beaucoup et notre aréopage de conseils et nos consultants sont là pour nous faire encore progresser au quotidien.
Il est également vrai que tout cela ne peut être mis en œuvre que s’il existe une relation de confiance réciproque excluant toutes velléités opportunistes entre nous. C’est avec cet état d’esprit et des valeurs fortes que Jean Pierre AYER* a développé High Potential Resources de manière continue et raisonnée pendant ces 6 dernières années.
Parce que chacun a des besoins et des attentes spécifiques, nous proposons chez HPR trois « packages » de fonctionnement assurant une rémunération optimale en fonction de l’activité exercée. Plus de 90 % des situations rencontrées sont couvertes avec pertinence par ces formules, les autres font l’objet d’un montage personnalisé au cas par cas.
De fait, les solutions à mettre en œuvre ne sont pas les mêmes pour un retraité qui souhaite avant tout préserver le versement de sa pension sans brader son intervention, que pour un expert qui doit négocier le prix d’une importante mission chez un grand donneur d’ordre sans laisser paraitre qu’il est demandeur d’emploi depuis quelques mois.
Vous vous doutez que si la première solution fait appel à un montage technique intelligent de la part d’HPR pour lever les freins encore en place sur le dépassement du cumul emploi/retraite, la seconde fait davantage appel aux conseils de son président*, à la crédibilité d’HPR vis-à-vis des marchés, à l’image qu’elle a su créer de par son positionnement et son sérieux au fil du temps, ce qui n’a pu se faire en un jour. C’est dans ces conditions que l’on peut aborder un client la tête haute et négocier dans un rapport de pouvoirs équilibrés.
Chez HPR, vingt et un pour cent (21%) des effectifs présents sont des consultants salariés permanents ne relevant pas d’un régime de portage salarial, certains ont utilisé ce dispositif chez nous pour démarrer leur activité, ou bien pour « y voir plus clair pendant une période de redéploiement ». Mais de plus en plus de candidats intègrent directement le cabinet-conseil ou la structure formation d’High Potential Resources selon un processus de recrutement classique. Leurs motivations sont unanimes : Ils recherchent un très haut niveau de rémunération et un environnement de travail convivial répondant à leurs aspirations.
Pouvoir prospecter aujourd’hui sous le label « High Potential Resources » constitue un plus indéniable facilitant l’acquisition de missions avec des prix à la hauteur des grands cabinets internationaux.
Dans un monde de concurrence, nous œuvrons au quotidien pour créer la référence en matière de « Portage d’activité autonome Salariée® » et s’il est vrai qu’High Potential Resources est principalement dédiée à des intervenants entrepreneurs conscients de leur talents, la porte est ouverte à toutes celles et ceux qui ont à cœur de délivrer des prestations de qualité à même de satisfaire les besoins de leurs clients.
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Jean Pierre AYER, président d’High Potential Resources a abordé le portage salarial il y a 14 ans, utilisateur de ce dispositif puis directeur du développement d’Intervenances, il a été co-fondateur associé d’ITG et y a assumé entre autres pendant 6 ans la direction générale de la communication et des opérations. Animé d’un sens éthique sans faille Jean Pierre AYER a créé High Potential Resources en 2002.
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